Le rêve de melon des rituels de l’Awelye dans son expression la plus puissante. Enchevêtrement d’ensembles et de traits, comme autant de lignes de vie.
Evocation également de la graine de melon sauvage représentée à trois reprises sous le motif d’un cercle blanc ou bleuté.
Un blue and white « Awelye », toujours sur fond noir, particulièrement magnétique où les motifs à l’acrylique sont comme électrisés par l’usage d’un outremer pur, proche d’un bleu Klein, également dilué en bleus plus nuancés, avec la scansion intense dans la partie centrale de lignes blanches organiques telles du bois flotté.
Une composition complexe rythmée par le chant du bush, le "ressac" de l’Awelye, ses rituels de fécondité et de connexion à la nature.
Dans ce conte pictural de format carré à la présence spectaculaire, Minnie Pwerle semble nous conter l’océan de la vie surmontant l’écume des choses.
Figure incontournable de l’art moderne aborigène, décédée en 2006 lors d’une chasse dans le bush, Minnie Pwerle, qui ne créa officiellement qu’à partir de 1999, à plus de quatre-vingt ans, n’a de cesse de nous fasciner. Et ce, dans un contexte de forte ascension de l’art aborigène sur le marché - défendu depuis plusieurs décennies par les galeries australiennes - par le biais d’expositions internationales au sein d’institutions prestigieuses telles que les Musées Royaux de Bruxelles, la Gagosian gallery, la Fondation Cartier, Le Louvre Lens…et bien sûr, les contributions initiales d’artistes contemporains avec le Quai Branly à Paris.
Participant à la vie romanesque de Minnie Pwerle, la date de naissance même de cette artiste majeure, élue en 2003 par les critiques parmi les 50 artistes les plus collectionnés de l’art australien (et non seulement l’art aborigène), n’est pas formellement établie, les experts situant sa naissance entre 1910 et 1922, et certains en 1918.
La légende veut aussi que Minnie Pwerle fût si convoitée qu’elle sera kidnappée par des collectionneurs l’amenant à créer des œuvres à leur intention.
Rapidement, le geste sûr, la calligraphie puissante de cette artiste, déjà figure centrale du body art au sein de sa communauté via des peintures rituelles corporelles, le contraste de ses couleurs vives, la fougue de ses coups de brosse ciselés, ses enchevêtrements complexes agençant magnétiquement des motifs symboliques, retiennent l’attention des critiques et galeristes.
La reconnaissance du talent de Minnie Pwerle par la critique fut immédiate.
(…)
Suite de la description du tableau en cliquant ici
Un certificat d'authenticité sera remis à l'acquéreur.
Dimensions : 72 x 68 cm (dimensions de l'oeuvre châssis inclus, vendue sans cadre)
Minnie PWERLE
Figure incontournable de l’art moderne aborigène, décédée en 2006 lors d’une chasse dans le bush, Minnie Pwerle, qui ne créa officiellement qu’à partir de 1999, à plus de quatre-vingt ans, n’a de cesse de nous fasciner. Et ce, dans un contexte de forte ascension de l’art aborigène sur le marché - défendu depuis plusieurs décennies par les galeries australiennes - par le biais d’expositions internationales au sein d’institutions prestigieuses telles que les Musées Royaux de Bruxelles, la Gagosian gallery, la Fondation Cartier, Le Louvre Lens…et bien sûr, les contributions initiales d’artistes contemporains avec le Quai Branly à Paris.
Participant à la vie romanesque de Minnie Pwerle, la date de naissance même de cette artiste majeure, élue en 2003 par les critiques parmi les 50 artistes les plus collectionnés de l’art australien (et non seulement l’art aborigène), n’est pas formellement établie, les experts situant sa naissance entre 1910 et 1922, et certains en 1918.
La légende veut aussi que Minnie Pwerle fût si convoitée qu’elle sera kidnappée par des collectionneurs l’amenant à créer des œuvres à leur intention.
Rapidement, le geste sûr, la calligraphie puissante de cette artiste, déjà figure centrale du body art au sein de sa communauté via des peintures rituelles corporelles, le contraste de ses couleurs vives, la fougue de ses coups de brosse ciselés, ses enchevêtrements complexes agençant magnétiquement des motifs symboliques, retiennent l’attention des critiques et galeristes.
La reconnaissance du talent de Minnie Pwerle par la critique fut immédiate.
(…)
Suite de la biographie de l’artiste en cliquant ici