Toute sa carrière, il est resté fidèle à la mécanique de simple mouvement malgré les améliorations apportées notamment par son rival Cousineau.
Ses fils, François Joseph et Henri, perpétuent l’utilisation de ce simple mouvement en le promouvant dans la célèbre Méthode raisonnée pour la harpe parue en 1825 et en poursuivant la fabrication de harpes équipées de ce système.