le plissage des vêtements fait penser au style flamand ou allemand
elle tenait une tour aujourd' hui disparue
ses longs cheveux bouclés descendent dans son dos
derriere un énome point de fixation en fer
la coiffe a été refixée anciennement avec des clous
les yeux ont peut etre été retaillés anciennement
la satue a subi les affres du temps elle était peut etre restée à l' exterieur sous une niche ce qui l 'a exposée aux intempéries
elle semble avoir subi des coups de haches au niveau du cou et du visage
c était courant, de tout temps des iconoclastes ont détruit les images
la patine ravinéee du bois est extraordianire
on distingue neammoins encore bien la structure de la robe
auyant de l'art tribal je suis sensible à ce genre de patine érodée comme un madagascar ou un jorai du vietnam
trouvée en Catalogne
"La légende de la Sainte Barbe raconte qu’au 3ème siècle en Asie Mineure, une très jolie jeune fille du prénom de Barbara vivait, selon la volonté de son père, recluse dans une tour pour la protéger de ses soupirants. Parti en voyage, ce dernier découvrit à son retour qu’elle s’était convertie au christianisme. Fou de rage, il tenta de l’immoler. Elle prit la fuite, il la retrouva et au terme d’affreux supplices, lui fit couper la tête. La réplique du ciel ne se fit pas attendre, le père fut foudroyé sur le champ.
Depuis lors, Sainte Barbe est devenue la sainte patronne des métiers confrontés aux dangers du feu et des explosions : les pompiers, les artificiers et les mineurs la célèbrent chaque année le 4 décembre. Jour chômé pour les mineurs, cette journée était plus qu’une manifestation à caractère religieux au cours de laquelle une statue de Sainte Barbe était bénie puis descendue dans les galeries pour octroyer sa protection aux ouvriers. En surface, la fête devient populaire et partagée par tous, toutes religions confondues"(cf fete de la sainte barbe.com)