objet vendu
line

Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault

Vendu
Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault
Vendu
Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault-photo-2
Vendu
Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault-photo-3
Vendu
Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault-photo-4
Vendu
Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault-photo-1
Vendu
Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault-photo-2
Vendu
Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault-photo-3
Vendu
Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault-photo-4
Vendu
Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault-photo-5
Vendu
Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault-photo-6
Vendu
Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault-photo-7
Vendu
Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault-photo-8
photo(s) supplémentaires.

Description de l’antiquite :

"Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault"
Rarissime bénitier d'appartement d'époque Louis XIV en argent massif. Poinçons de la ville de Mons et lettre date S majuscule pour l'année 1711-1712.
Cette datation au  tout début du dix-huitième siècle en fait le plus vieil exemple de ce type de bénitier au poinçon de Mons que je connais.
Sa gravure , aux guirlandes de fleurs et de fruits,  est encore très proche des gravures que l'on trouve sur  les timbales belges du dix-septième siècle .
Entièrement façonné en argent repoussé, ciselé et gravé , il fait preuve d'une plus grande finesse que les benitiers du même type ( avec une gravure de style régence ) que l'on retrouve assez couramment dans toutes les villes belges entre 1720 et 1750.
La figure du Christ est en argent fondu et assez détaillée. Le graveur a pris soin de graver des gouttes de sang  en-dessous des mains et des pieds du crucifié, ce qui est aussi un détail que j'observe pour la première fois sur un bénitier du dix-huitième siècle.
Au dos de La Croix ,se trouve également le poinçon du maître orfèvre Charles Albert Maresc(h)ault : CM.
Vu le décès de cet orfèvre en 1710 , ce bénitier est une preuve parmi tant d'autres que les veuves d'orfèvres montois étaient autorisées à  continuer les ateliers de leurs défunts époux en frappant  le même poinçon de maître orfèvre.
L'objet pèse 125 grammes.
 

Voir plus d'objets de cet antiquaire

Antiquités - pièces de forme

Recevez notre newsletter
line
facebook
pinterest
instagram

Ian Panné
Orfèvreries anciennes et autres antiquités

Bénitier , Mons 1711,, Charles-Albert Marescault
1119992-main-64412a0d3754f.jpg

+32 475443619



*Un message de confirmation vous sera envoyé par info@proantic.com Vérifiez votre messagerie y compris le "Courrrier Indésirable"

Thank you! Your submission has been received!

Oops! Something went wrong while submitting the form