Agenore Fabbri (1911-1998) , La Vague, Bronze, 1965. flag

Agenore Fabbri (1911-1998) , La Vague, Bronze, 1965.
Agenore Fabbri (1911-1998) , La Vague, Bronze, 1965.-photo-2
Agenore Fabbri (1911-1998) , La Vague, Bronze, 1965.-photo-3
Agenore Fabbri (1911-1998) , La Vague, Bronze, 1965.-photo-4
Agenore Fabbri (1911-1998) , La Vague, Bronze, 1965.-photo-1
Agenore Fabbri (1911-1998) , La Vague, Bronze, 1965.-photo-2
Agenore Fabbri (1911-1998) , La Vague, Bronze, 1965.-photo-3
Agenore Fabbri (1911-1998) , La Vague, Bronze, 1965.-photo-4

Description de l’antiquite :

"Agenore Fabbri (1911-1998) , La Vague, Bronze, 1965."
Sculpture à patine brune.
1965.
Signée A. FABBRI et numérotée 155/450 sur la base.

Très bon état.

Dimensions : 60,5 x 13 cm
H : 27 cm

------

" Sculpteur et un peintre italien du XXᵉ siècle.
À l'âge de 12 ans, il s’inscrit à l’école des Arts et Métier de Pistoia et ensuite à l’Académie des beaux-arts de Florence
En 1930 il commence à modeler et cuire la terre et cinq ans après il va vivre à Albisola (Savone), la petite ville de la Ligurie ou son premier rôle sera d’ouvrier modéliste auprès de la manufacture des céramiques La Fiamma (la Flamme) il continue sa formation et commence un travail sur la figure humaine et animal avec une forte tendance expressionniste, et il est un des premiers à colorer la terre cuite.
À Albissola, où dans ces mêmes années travaillent de nombreux membres du second futurisme toujours sous la direction de Filippo Tommaso Marinetti, il ouvre un petit atelier et entre en contact d’abord avec Arturo Martini et ensuite avec Lucio Fontana, avec lequel il aura une amitié qui durera toute la vie.
En 1935, il obtient un discret succès à la Nazionale de Naples et, au début des années 1940, il débute avec ses premières expositions personnelles à Milan, Bergame et Savone.
À partir du 1946 il s’établit définitivement à Milan, bien que pendant l’été il continue à travailler à Albissola, qui dans les années après la guerre redevient encore une fois un endroit international en raison de la fréquentation régulière des artistes comme Marino Marini, Giacomo Manzù, Aligi Sassu, certains membres du groupe CoBrA comme Karel Appel, Guillaume Corneille et Asger Jorn, Roberto Matta Echaurren et Wilfredo Lam et puis Giuseppe Capogrossi, Roberto Crippa, Emilio Scanavino, et l’enfant prodige Piero Manzoni. 
En 1947 il réalise des œuvres en céramique et terre cuite comme Donna del Popolo (Femme du peuple, un titre imaginé par Picasso), Uomo colpito (L’Homme abattu) et La Madre (La Mère), dans la manufacture des céramiques Mazzotti, de propriété de l’artiste et poète futuriste Tullio d’Albissola, avec lequel il organise sa première rencontre avec Picasso à Vallauris.
Il présente ses premières expositions personnelles aux États-Unis, New York et Philadelphie, et en Europe à Londres, Paris, Stockholm, Rome et Milan et il participe à plusieurs expositions collectives nationales et internationales de sculpture : les Biennales de Venise du 1952 et du 1960 et à celles du 1959 et de 1964 et nombreuse éditions de la Quadriennale de Rome et ensuite Anvers, Madrid, Paris, Zurich, Athènes, La Haye, Munich, Londres, New York, Boston, Tokyo, São Paulo, Mexico, Le Caire et Alexandrie en Égypte. 
Dans les années 1980 son œuvre est présentée surtout en Allemagne avec des expositions personnelles au musée Wilhelm Lehmbruck de Duisbourg, au musée Ludwig de Cologne et au musée Sprengel de Hanovre. En 1965 il devient membre de l’Académie de San Luca, dont il deviendra président en 1998, l’année de son décès.
Dans sa carrière il a obtenu différents prix, entre autres Le prix international de la sculpture de Cannes 1955, la cinquième édition du Premio Spoleto 1957 et ceux de la Triennale de Milan dans laquelle il a gagné la Médaille d’or, le grand prix, et le grand prix de la Céramique.

Son travail est décidément expressionniste avec une influence de la matière plastique populaire qui apparaît dans de nombreuses œuvres de sa Toscane natale. Après la Seconde Guerre mondiale, le travail de Fabbri, également influencé par le passé récent, est canalisé vers une expression dramatique exaspérée. Le sentiment de tragédie ne se limite pas seulement aux êtres humains mais aussi aux animaux représentés dans les combats et bagarres avec des effets tragiques qui vont au-delà de la violence quelque peu explicite.
Dans les années cinquante et soixante le bronze et le bois deviennent les matériaux de choix : le premier présente une modélisation convulsive marquée par de profondes sillons dans la figure.
Agenore Fabbri est aussi l'auteur de nombreuses œuvres monumentales à Milan (Caccia al Cinghiale, 1964, dans les jardins du palais Sormani (en), siège de la Bibliothèque centrale) Pistoia, Savone (monument à la Résistance à la place des Martyrs de la Liberté) et les grandes céramiques bas-relief Battaglia (Bataille), conservées au musée Manlio Trucco de Albisola et La favola di Orfeo (L’Histoire d’Orphée) dans le Polo Tecnologico Libero Grassi de Quarrata (Toscane).
Prix: 1 800 €
Epoque: 20ème siècle
Style: Design Années 50-60
Etat: Très bon état

Matière: Bronze

Référence (ID): 1134385
line

"Petit Antiquités" Voir plus d'objets de cet antiquaire

line

"Bronzes Anciens, Design Années 50-60"

Antiquités similaires sur Proantic.com
Recevez notre newsletter
line
facebook
pinterest
instagram

Petit Antiquités
Mobilier, tableaux, objets d'art
Agenore Fabbri (1911-1998) , La Vague, Bronze, 1965.
1134385-main-6464b595e0594.jpg

0145044654 ou 0142930575 ou 0145205444

0603003983



*Un message de confirmation vous sera envoyé par info@proantic.com Vérifiez votre messagerie y compris le "Courrrier Indésirable"

Thank you! Your submission has been received!

Oops! Something went wrong while submitting the form