Signée en bas a gauche « J. Chevolleau » titrée et signée au dos. Très petits manques
H x L : 38 x 46cm sans le cadre
H x L : 58 x 66cm avec le cadre
Jean Chevolleau est originaire de la Roche sur Yon, il est l élève de Jean Souverbie et fréquente également pendant ses jeunes années l’atelier d’Othon Friez à la Grande Chaumière. Il fréquente aussi l’atelier de Jacques Villon à Puteaux. C’est là que le remarque l’un des maîtres du Post-Cubisme, Jacques Villon, qui l’invite dans son atelier fréquenté par des artistes déjà reconnus : La Fresnaye, Kupka, Léger, Estève, Picabia, Pignon, André Lhote, Manessier.. Ce collectif d’artistes appelé « Groupe de Puteaux » le marquera pour la vie.
Le mouvement du Groupe de Puteaux est basé sur la redécouverte du fauvisme et du cubisme avec le souci d’en faire la synthèse. C’est à cette école et ce courant, fort des leçons reçues de J..Villon, que Jean Chevolleau instinctivement se rattache et se définit.
Le bleu est sa couleur de prédilection et ses thèmes principaux sont les chevaux, les nus, les natures mortes, et les paysages.
Ce que nous en pensons : un superbe tableau qui réunit 2 thèmes essentiels chez Chevolleau : le bleu et les chevaux. Bon format, cadre d’origine.
Ce peintre ,n'est pa a son prix aujourd'hui , c'est le moment d'en profiter.
LE SAVIEZ -VOUS ? Le groupe de Puteaux ou Section d'or sont les noms donnés à un groupe d’artistes et de critiques étroitement liés au cubisme, mais se plaçant dans une approche « post-cubiste ».Le groupe s’est constitué vers 1911 à l’occasion de réunions régulières de peintres, poètes et mathématiciens chez les Duchamp, qui habitaient une petite maison à Puteaux, situé dans la banlieue ouest de Paris.
Les salons de la Section d'or perdurèrent jusqu'en 1925.
Le groupe de Puteaux a adopté ce nom afin de se distinguer de la définition plus étroite du cubisme développé en parallèle par Picasso et Braque à Montmartre.
Marcel Duchamp était féru de sciences et de mathématiques, et tous ses amis, entre autres Gleizes, Kupka, Léger, Metzinger, Picabia, Henry Valensi, Auguste Perret, Salmon, Apollinaire, et Maurice Princet (le « mathématicien du cubisme ») rêvaient de transformer le monde à partir des découvertes « einsteiniennes » tournant autour du nombre d'or.