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Les batailles de Grossbeeren (allemand : Großbeeren) et des villes voisines de Blankenfelde et Sputendorf (23 août 1813), une armée alliée prussienne-suédoise dirigée par le prince héritier Charles Jean - ancien maréchal de France Jean-Baptiste Bernadotte - ont vaincu les Français sous le maréchal Oudinot. Napoléon avait espéré chasser les Prussiens de la Sixième Coalition en capturant leur capitale, mais les marécages au sud de Berlin, combinés à la pluie et à la mauvaise santé du maréchal, les enlisèrent. Après la bataille de Bautzen, en mai 1813, pendant la guerre de la sixième coalition, les deux parties ont convenu d'une trêve de sept semaines pour planifier et mieux se préparer. Lorsque la campagne reprit, en août, Napoléon ordonna une offensive pour prendre la capitale prussienne de Berlin. Avec sa capture, il espérait mettre les Prussiens hors de la guerre. Pendant ce temps, il maintenait le gros de son armée sur la défensive stratégique, pour faire face à tout mouvement potentiel de la grande armée autrichienne, désormais rassemblée dans le sud-est de l'Allemagne. Pour cette tâche, il choisit l'un de ses plus courageux et meilleurs commandants, le maréchal Nicolas Oudinot, pour mener l'offensive. Oudinot a tenté de refuser cet honneur en raison de sa mauvaise santé. Il avait été blessé à plusieurs reprises au cours de la désastreuse campagne de Russie de l'année précédente et n'était pas encore complètement rétabli. Mais l'empereur insiste, alors Oudinot avec trois corps d'environ 60 000 hommes s'avance sur Berlin. Inconnue à l'époque de Napoléon et d'Oudinot, cette stratégie a fait le jeu de la Coalition. Conformément à leur plan Trachenburg (formulé pendant la trêve), ils éviteraient tout engagement majeur et principal avec Napoléon lui-même jusqu'à ce qu'ils aient rassemblé une force écrasante et affaibli l'empereur en battant ses maréchaux dans des batailles séparées et plus petites.