De forme balustre cette chocolatière joue d'une simplicité exemplaire par ses lignes sobres et ses trois frises de feuilles d'eau, une sur le couvercle, une au départ de l'arrondît et une sur le pied.
Le petit couvercle ou l'on met le moussoir est articulé d'une charnière, une graine décorée de deux palmettes sert de prise.
Le couvercle basculant est prolongé par le haut du bec verseur de forme mouvementée.
Au dessous sur cinq centimètres de hauteur une partie concave d'où sort le bec verseur decoré d'une grande palmette qui rejoint la frise et au dessous une fleur de lyse.
Le fût principal lisse se termine par une frise similaire aux deux autres.
Le manche est de couleur crème à matière noble aux décors de gaudrons et de plats, la partie ronde en argent où est vissé le manche est decorée de cignes aux ailes déployées.
Henri LAPPARRA (document copié sur internet)
Le registre du commerce a été institué par la loi du 18 mars 1919. Toute société doit se faire immatriculer au greffe du tribunal.
Le 1er janvier 1919, au Greffe du Tribunal de commerce, est enregistrée la formation, pour une durée de 10 ans, de la Sté LAPPARRA ET GABRIEL, (c'est à dire Henri LAPPARRA et Georges GABRIEL ), ayant pour objet l'exploitation d'une fabrique d'orfèvrerie, société en nom collectif au capital social de 140 000 F. La société est dissoute le 28 janvier 1924.