Elle a fasciné Brecht et Breton, inspiré Rilke et Céline. Nabokov lui a consacré un poème, Supervielle l’a fait revivre, et Aragon surtout, qui accroche son masque aux murs de l'appartement de son héros Aurélien. Man Ray et Rudomine en ont tiré de magnifiques portraits, et Gainsbourg l’a chanté… Depuis plus de cent ans nous hante l’Inconnue de la Seine.
Son masque est ici dessiné avec beaucoup de délicatesse, rendant parfaitement le paradoxe de ce visage que la mort a figé heureux.