Sa foi transparait dans l'oeuvre qu'il a produite. Je l'imagine dans un coin d'atelier du monastère, quelque part en Russie.
J'entends les choeurs qu'il écoutait pendant que, du bout de son pinceau, il peaufinait les traits du frère de Moïse.
Aaron, écrit en cyrillique sur sa coiffe ecclésiastique, est représenté manipulant un encensoir.
Huile sur toile marouflée, en très bon état, qui porte la trace de son encadrement perdu.