Le masque est vendu sans le socle, un socle universel (35€) ou sur-mesure (45€) peut être fourni sur demande.
Les Ligbi, implantés en Côte d'Ivoire et au Ghana et convertis à l'islam, ont été influencés par les Senoufo, allant jusqu'à charger des Senoufo ou des Mandé de sculpter leurs masques. Les Djimini, membres de l'ethnie Sénoufo vivant dans la région de Dabakala, ont également adopté cette pratique. Leurs masques, associés à la société du do et souvent supervisés par les Ligbi lors des danses, reflètent ces influences croisées. Cette tradition masquée, partagée par les Djimini, persiste lors des célébrations religieuses telles que l'aïd-el-fitr et l'Aïd el Kébir (fête du mouton), accompagnées de sacrifices et de chants, symbolisant ainsi la fin du jeûne. Avant les festivités, si nécessaire, les masques sont repeints et enduits de koro, un mélange de feuilles brûlées et de cendres mélangées à de l'huile de palme.
ATTENTION LE PRIX DU TRANSPORT COMPREND L'ASSURANCE PERTE, VOL, CASSE.