Isho Dansu Japon

Isho Dansu (commode) double se divise en deux parties pour servir éventuellement de bout de canapés ou de table de nuit 
 Ils étaient utilisés pour ranger les kimonos et autres attributs personnels. Il existe différentes sortes d'Isho-Dansu classés principalement selon leur origine. (Sendai, Yonezawa, etc.)
Il existe des armoires simples ou doubles dans une grande variété de couleurs et avec différentes tailles de quincaillerie. Ces Isho-tansu (commode), Kaidan-tansu (commodes à gradins) et Yonezawa-karato sont nés à Yonezawa, une importante région de production textile.
Les commodes ont été fabriquées pour la première fois au Japon à la fin de la période Edo (XVIIIe-XIXe siècle). Au cours de la période Meiji, leur production a connu une croissance spectaculaire dans de nombreuses régions du Japon, donnant naissance à des commodes caractéristiques localement, notamment Yonezawa Tansu. Beaucoup d'entre eux sont des Isho-tansu (commodes), qui peuvent être séparées en parties supérieure et inférieure, probablement parce que Yonezawa produit un grand nombre de textiles. Il existe d'autres types d'armoires telles que les Kaidan-tansu (commodes à gradins) laquées rouges qui sont placées dans un espace triangulaire sous les escaliers et censées inviter au bonheur, et l'unique Yonezawa Karato Tansu qui comporte des roulettes.
Il s'agit du travail d'un artisan qui s'en tient aux techniques traditionnelles depuis la sélection des matériaux en bois jusqu'aux processus de production et de finition.
Actuellement, seul Nagai Kaguten, un magasin de meubles ouvert en 1912, fabrique du Yonezawa-tansu.
Les tansuya (artisans du tansu) utilisaient à la fois des bois durs et des résineux, souvent en combinaison pour un seul coffre. De cette façon, les coffres étaient encore suffisamment légers pour le transport, tout en abritant également des essences de bois précieuses (plus lourdes), comme le keyaki. Des caractéristiques telles que des poignées latérales et le fait d'être constitués de plusieurs parties facilitent la mobilité d'un meuble aussi ingénieux. Ils ont été laqués et décorés de métal.
Il s'agit du travail d'un artisan qui s'en tient aux techniques traditionnelles depuis la sélection des matériaux en bois jusqu'aux processus de production et de finition.
Actuellement, seul Nagai Kaguten, un magasin de meubles ouvert en 1912, fabrique du Yonezawa-tansu.
Les tansuya (artisans du tansu) utilisaient à la fois des bois durs et des résineux, souvent en combinaison pour un seul coffre. De cette façon, les coffres étaient encore suffisamment légers pour le transport, tout en abritant également des essences de bois précieuses (plus lourdes), comme le keyaki. Des caractéristiques telles que des poignées latérales et le fait d'être constitués de plusieurs parties facilitent la mobilité d'un meuble aussi ingénieux. Ils ont été laqués et décorés de métal.

Tôle de fer : le matériau traditionnel utilisé dans la quincaillerie japonaise devait être pilé sous forme de lingots jusqu'à il y a à peine quelques années, c'était un processus laborieux, d'épaisseur inégale, qui rouillait facilement et coûtait cher à fabriquer.
À l'ère Meiji, une usine s'établit dans la ville de Kamaishi, dans le nord de Honshu, pour produire des feuilles en utilisant une méthode de pressage : cela permettait d'obtenir un fer à surface lisse et d'épaisseur régulière, suffisamment fin pour être coupé avec des cisailles plutôt qu'avec un burin.
 les tiroirs tirent vers l'arrière, les plaques de serrures ,T et L pour recouvrir et protéger les coins pourraient garder leurs fonctions de sécurité et être ciselée pour gravure et ajourage
 Les poignées en fer sur les côtés pour fixer un poteau de transport  ont toujours été forgées. Le Japon étant exposé à de fréquents tremblements de terre et aux incendies, les gens devraient pouvoir s'échapper rapidement avec leurs meubles hors de la maison.
Pour sécuriser la partie supérieure et inférieure du tansu q