À Paris, Geza Szobel est proche de Marc Chagall, Emmanuel Mané-Katz, Louis Aragon, Le Corbusier, et travaille avec Robert Delaunay. Son style, semi-figuratif, revient vers la figuration pure avec la Seconde Guerre mondiale — il s'engage alors en France avant de passer en Angleterre — qui lui inspire alors une peinture constituée de personnages torturés et de scènes d'épouvante.
Françoise de Perthuis restitue que c'est après la guerre que Geza Szobel « revient aux grands rythmes géométriques et expose à Paris et dans plusieurs capitales étrangères.