Prix de vente hors frais de port
Cette arme est le complément idéal d’une collection d'armes traditionnelles japonaises.
· Lame (courbe) : Longueur 32,8 cm - Avec une petite gorge en forme de vague sur les 2 faces.
· Poignée : Longueur = 10 cm - Petite décoration à l’argent de chaque côté, représentant 1 cygne sur une face et des chevaux sur l’autre.
· En bronze coulé en une seule pièce
· Poids = 456.8 grs
· En très bon état.
· Petit Himo en soie (Cordon jaune doré)
· État : En excellent état
· Défauts : Dans l’ensemble, il y a quelques rayures, etc. en raison de l’âge.
Qu'est-ce que le Tekkan - Kabutowari ? :
Le Tekkan, serait l’évolution d'une étrange arme utilisée sur les champs de batailles et prétendument fabriquée par le célèbre « Goro Nyudo Masamune ». Cette ancienne arme était composée de barres de fer attachées avec une corde, sur un manche en bois. Les guerriers faisaient pivoter l'arme et frappaient, d'un coup violent, les casques en fer des adversaires.
Kabutowari signifie littéralement "briser le Kabuto", l'emblématique casque de Samouraï, mais cela tient plus du mythe que de la réalité. Sur les champs de batailles, les guerriers portaient, Kabuto et armures, cependant ces équipements étaient certainement trop robustes pour pouvoir être fissurés ou fendus avec des armes aussi légères, que le Kabutowari. Cette arme était aussi très utilisée par les marchands et les fermiers, à qui la loi interdisait de porter ou même de posséder la plupart des armes tranchantes et notamment les sabres.
Ces armes (ressemblant à un Jitte), souvent appelés Hachiwari ou Kabutowari, avait des lames métalliques épaisses et courbées, aux bords non aiguisés et munis d’un crochet près de la base du manche. Les Kabutowari mesuraient généralement entre 35 à 45cm de long.
Lors d'un combat, la poignée, la tige et le crochet étaient utilisés soit, pour parer le sabre d'un adversaire, soit pour attraper les cordes, afin de séparer les plaques d'armure ou pour arracher un casque, laissant l'adversaire vulnérable. La lame incurvée et pointue permettait aussi, d’accéder et de percer les zones non protégées ou plus faibles de l'armure japonaise, comme l'ouverture située juste dans la zone des aisselles.