Bonnetière Française Louis Philippe En Noyer Massif, Fin 19ème Siècle.

Bonnetière française Louis Philippe en noyer massif, fin 19ème siècle.

Cette bonnetière très élégante s’ouvre à une porte. Elle laisse apparaître trois étagères fixes. Elle peut être transformée en penderie pour suspendre des vêtements. La profondeur du meuble s’y prête.

La porte a une serrure avec sa propre clé. L’entrée est en bois. La serrure est une serrure à trois points permettant ainsi une meilleure tenue.

Le bois est très veiné notamment sur les côtés.

La bonnetière est fabriquée à partir de matériaux de qualité et construit à l’aide de techniques anciennes : tenons et mortaises soudent les pièces de bois entre elles et renforcent la solidité. 

L’intérieur du meuble est composé de trois étagères sur lesquelles il est possible de ranger de la vaisselle ou du linge puisque ces mêmes étagères ont été nettoyées grâce à traitement préventif biologique évitant ainsi toute odeur donc entièrement naturel.

Le dos du meuble est doté de panneaux en bois massif donc très résistants.

La base du meuble repose sur quatre pieds très stables. Les deux pieds arrières sont droits, les deux pieds avant sont des pieds dits «patin».

Les trois moulures successives au niveau de la corniche la rendent très élégante.

Ce type de mobilier est devenu à la mode au XIXème du fait de sa sobriété mais aussi dû au développement des bastides. Ce meuble était très souvent le résultat d’une commande particulière. La bonnetière était destinée au rangement des chapeaux et des couvre-chefs posés sur une tête de bois.

C'est un meuble de caractère. Il est utile dans une chambre, un salon. Fonctionnelle, dotée de justes proportions, la bonnetiere trouvera sa place tout naturellement dans nos maisons modernes. 

Son aspect intemporel donne envie de garder du passé ce qu'il y a de meilleur et d’enrichir son histoire en s’installant dans votre intérieur. A votre tour, vous apporterez votre morceau de puzzle d’histoire de votre vie. Vous allez le mettre en valeur en jouant avec ses lignes. L’essayer c’est l’adopter !