Réalisées en argent embouti.
Motif centra d'un panier fleuri, entouré d'une arabesque en forme de C, bordé d'un rang de perles et terminé en pourtour d'oves rayonnants.
Trois anneaux soudés à l'argent pour chacune des "coquilles" permettaient de les coudres directement sur le vêtement, puis un crochet et un anneau afin de les attacher entre elles.
Poinçons illisibles dont un losangique pour l'orfèvre-fabricant. Poids : 0.18 grammes.
Entre 1840-1850 et 1920, on note une très grande variété d’agrafes : en corbeille entourée d'une guirlande, de godrons, de perles, palmettes, de gerbes, décorées d’une grosse fleur centrale, ajourée ou pas, entrelacs, décors géométriques ou végétalisant, mains jointes, coquilles, pattes de lion, …
Cependant, on notera que depuis le début du XIXème siècle, les orfèvres ont fabriqués des modèles pratiquement identiques dans tout le nord et l’ouest de la France, de Paris à Angoulême.
L’agrafe est le seul élément décoratif (ou le petit grain de folie, si on veut !) sur les manteaux, qui sont toujours d’une grande simplicité et de couleur sombre, sans ornement particulier.
Source Internet, site : objet d'hier de Sophie Sesmat.
Livraison : 10€ pour la France métropolitaine.