Si l'artiste ne quittera guère le département de l'Indre - " ce pays plus mélancolique que grandiose" -, entre ses frontières il s'avère être un paysagiste nomade : la vallée de la Creuse, les alentours du Poinçonnet, mais surtout la Brenne sont ses lieux d'inspiration privilégiée. Au sujet de cette dernière, dans une lettre autographe, il se dit séduit par son caractère étrange et prenant. La Brenne et ses étangs sont aussi propices à l'expression de ses émotions, dans un registre plus directement poétique, empreint de douceur et de sérénité.
Signé en bas à gauche: Paul Rue