D’après le plâtre original de 1,74 m de haut
Réduction n° 3 au 2/5 par A. Colas (cachet sur la terrasse à droite)
Fonte au sable de la fonderie Barbedienne – Marquée « Barbedienne Fondeur Paris » en lettres cursives sur la plinthe arrière de la terrasse et numéroté 820
Signée « St Marceaux » et datée 1879
Vers 1880/1890
Dimensions
Hauteur : 69 cm
Largeur : 26 cm – Profondeur : 28 cm
Galerie Paris Manaus
Biographie:
René de SAINT MARCEAUX (1845-1915)
Sculpteur, médailleur né à Reims le 23 septembre 1845, meurt à Paris le 23 avril 1915.
En 1863, il entre à l’École des Beaux-Arts de Paris e suit les cours du sculpteur François JOUFFROY.
Il commence a exposé au Salon en 1868.
Entre 1870 et 1871, il rentre à Reims pendant l’occupation prussienne.
Il fera un séjour entre 1872 t 1873 à Florence en Italie. Dès son retour, il participe à de nombreux salons, membre de la Société des Artistes Français en 1885, Médaille d’or à l’Exposition Universelle de Paris en 1889, Officier de la Légion d’honneur.
René Sant Marceaux épouse en 1892 Margueritte Jourdain (1850-1930), veuve et riche héritière du peintre Eugène Baugnies. Son salon de musique au 100 bd Malesherbes à Paris rivalise avec celui de la Princesse de Polignac.
C’est aussi à cette période qu’il quitte la Société des Artistes Français pour la Société Nationale des Beaux-Arts.
René de Saint-Marceaux est une figure représentative de ces nombreux artistes de la Troisième République, exposant aux Salons et multipliant les concours et les honneurs. Il eut pour praticien François Pompon (1855-1933) de 1895 à 1914.
Il a souffert toute sa vie de douloureux rhumatismes articulaires et il était obligé de s’aliter au moment de ses crises. François Pompon suppléait alors son maître devenu, avec le temps passé aux côtés l’un de l’autre, son ami. De milieux très différents, les deux hommes s’estimaient et partageaient la même passion pour leur métier : la sculpture.
On compte parmi les œuvres les plus célèbres de cet artiste, « Le Gisant de l’abbé Miroy » , « L’Arlequin », « Monument à Alexandre Dumas », ….
Commandeur de la légion d’Honneur en 1913.
Il meurt à Paris le 23 avril 1915 et, est inhumé à Cuy Saint Fiacre (76)
Vendu avec facture et certificat
Très bel état de conservation
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