Pochoir (très belles couleurs), avec réhauts de gouache blanche.
Encore mineur, et avec l'approbation de son père, il part pour Paris. Dans le train qui le mène vers la capitale, il rencontre le directeur de la revue Fantasio. Le jeune dessinateur lui montre son travail. M. Staglio est immédiatement convaincu, et lui passe commande pour Le Rire. C'est le début d'une carrière qui s'étend ensuite sur un demi-siècle. Le Rallic débute donc au journal Le Rire en 19101, puis, très vite, il s'illustre dans de nombreux autres journaux satiriques. Il est présent régulièrement au Salon des humoristes, où son humour lui vaut une note élogieuse de Francis Carco. Il dessinera un grand nombre d'oeuvres équestres: chasse, attelage,scène d'intérieur, souvent humoristique.
Il se lance ensuite dans la bande dessinée, dont il est l'un des pionniers en France. Tout en continuant son travail d'illustrateur dans de très nombreux périodiques pour la jeunesse, il collabore avec les grandes maisons d'éditions de l'époque en France : Fayard, Offenstadt, Fleurus, Montsouris… et en Belgique avec Gordinne.
Pendant l'Occupation, il donne des dessins aux illustrés pour la jeunesse Le Téméraire (de tendance collaborationniste) et Ololê.
Parallèlement à sa production de bande dessinée, il illustre des centaines de romans et nouvelles, des recueils de contes et des œuvres érotiques.
Son trait si particulier le place parmi les plus grands illustrateurs de sa génération[réf. nécessaire]. Il décède en 1968, près de Paris, mené une dernière fois par l'un de ses chevaux qu'il affectionnait tant. Source Wikipédia