Rondolotto Yana, Née (1928), Grande Hst " Papillon De Lumière ", XXe

Grand tableau huile sur toile, bien encadré avec un important cadre en bois et stuc doré, représentant une scène très coloré avec un papilon, fleurs , bougies... signé en bas à droite "Yana RONDOLOTTO ".
Epoque XXe

Taille 81*65 cm et 103*87 cm avec cadre.

Yana Rondolotto, ( Article de presse Publié le 26/09/2021 ), une vie dédiée à la peinture
Né en 1928 dans une famille d’origine italienne à Dijon (Côte-d’Or), il perd sa maman très jeune. Son papa, acrobate, lutteur et peintre en bâtiment, l’intègre dès l’âge de trois ans dans ses numéros de voltige. Avec leur troupe des Adally’s, ils sillonnent ensemble les foires des environs avec leurs spectacles de force-mâchoire dans lesquels son père soutient un acrobate appuyé sur une tige en fer qu’il retient dans sa bouche avec ses dents.Autodidacte, le Lochois Yana Rondolotto, continue de peindre et de dessiner, dans son atelier, chez lui. Portrait d’un artiste à la vie bien remplie.
1.223 tableaux depuis 1976
Après dix ans passés dans la capitale, Yana Rondolotto s’installe à Vallauris (Alpes-Maritimes) où il fait la connaissance de Solange, qui deviendra sa femme. Cette dernière est originaire de Loches, et le couple arrive en Sud-Touraine dans le milieu des années 70. « Notre première sortie a été un marché paysan, une manifestation qui n’existe plus aujourd’hui. Nous avons reçu ici un accueil fantastique. J’ai pu créer ce que j’avais envie de faire », dit-il.
Yana Rondolotto peint sur du bois mais aussi des toiles. Son dernier tableau - le 1.223^e depuis son arrivée en Touraine - représente un iris qui pousse dans son jardin. « Je suis un peintre survivant de la Renaissance italienne. Je peins pour me dépasser, m’élever », affirme le nonagénaire.
Son imagination n’a pas de limite. « J’ai une vie passionnante que je ne peux concevoir sans la peinture. Si je ne crée pas, je meurs », conclut-il.

Modèle mais aussi comédien
À 14 ans, Yana suit les traces de son géniteur en devenant peintre en bâtiment. À 20 ans, il quitte le foyer familial. Seul et sans un sou, il débarque à Paris. Il postule comme modèle dans plusieurs académies de peinture de la capitale. « C’était mon gagne-pain afin de poursuivre ma passion de la peinture », dit-il. Ses premières toiles, il les a peintes dès l’âge de 9 ans. À Paris, il loge dans un hôtel et en échange, il réalise quelques travaux de peinture. une vie dédiée à la peinture,