D’après un extrait du Journal des deux monde, Journal des grands voyages parut en 1880, il est decrit comme tel : " Paul Vernon est désormais un Maître de ceux de la seconde génération. La première qui se compose de Diaz, Corot, Rousseau etc... Dans Paul Vernon, le talent se subdivise en deux manières distinctes: quand il est lui-même, plein de mélancoliques rêveries, comme il convient à un chantre du bois, comme il l'était au Bas-Breau, comme il l’est dans la forêt de Chambord et à Belles-Croix, là, les fanfares de la Flûte de Pan ont des tons assourdis et les vieux chênes plongent dans l'atmosphère. Lorsqu'il est imitateur de Rousseau, il l’est de telle manière que l'expert le plus madré n’y voit goutte, et ne sait pas distinguer le Maître de l'élève. Je garde pour la bonne bouche un peintre réaliste des plus sincère et des plus distingués."