D'origine russe, cet artiste de premier plan évoluant dans les cercles de l'avant-garde européenne dès avant la première guerre mondiale place le corps féminin au centre de ses recherches plastiques.
Mort à Auschwitz, ses oeuvres font partie de celles exposées comme représentatives d'un "art dégénéré" à partir de 1937.
Modèle de cette oeuvre exposée à la galerie Alfred Flechtheim à Berlin, et illustrée dans l'article de Hugo Kubsch sur Moissey Kogan dans "Der Kunstwanderer" en février 1929 (où légendée comme "terracotta") et dans le n° 27 de la revue "Kunst und Künstler: illustrierte Monatsschrift für bildende Kunst und Kunstgewerbe" de 1929 - catalogue raisonné en cours d'élaboration, cf. "moisseykogancr.org/"
En l'état: un coin recollé.