Il se forme et travaille dans l'atelier de celui-ci dont il réalisera aussi certaines sculptures. Il signe « Barye le fils » ou comme ici « A. Barye ».
Il aura les mêmes fondeurs que son père, comme Barbedienne et resta longtemps dans l’ombre de ce père trop célèbre.
Très habile sculpteur, il n’a rien à envier à Barye père quant à la qualité de l’exécution et au fini irréprochable de ses œuvres.
Il a exécuté des bronzes animaliers et des sujets orientalistes.
Il expose au Salon de 1864 à 1882.
Cet élégant faisan, dont on retrouve le modèle avec des patines et des socles différents a ici la particularité d’offrir une très belle patine brune dorée et sa ciselure extrêmement fine donne un effet irisé au plumage de l’oiseau.