Fils d'Henri-Adolphe Mériel-Bussy et de Nanine Félicie Reine Marie Le Marc’Hadour, André Mériel-Bussy est le cousin germain du chanteur lyrique breton Yvon Le Marc’ Hadour et de l'aquarelliste et graveur à l’eau-forte Henri-Jules Barjou.
En 1919, André Mériel-Bussy devient élève de l’École régionale des beaux-arts de Rennes puis s'inscrit à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris à partir de 1924. Il y intègre l'atelier du peintre Lucien Simon. Il reçoit le prix Chenavard en 1926 et la médaille d'or de la Société des artistes français décernée lors du Salon de 1939.
Il se marie avec une Brestoise originaire de Ploudalmézeau, région dans laquelle le couple viendra s'établir.
Exposant fréquemment à Brest, une rétrospective lui a été consacrée à l'école des beaux-art de Brest, ainsi qu’à la galerie Raub à Brest. En 1981, tenir un pinceau lui devient douloureux et, en 1983, fatigué, il se contente de retoucher des œuvres inachevées.
Une rue porte son nom à Ploudalmézeau.