Dimensions de chaque carreau 15x15cm et environ 49x35cm avec cadre en bois compris
Probablement signé au dos mais je n'ai pas voulu démonter ce panneau entièrement d'origine, mais garanti de Jean Lurçat, je fournirai une facture dûment remplie
Parfait état d'origine, aucune casse ni restauration.
Il s'agit d'un superbe panneau composé de 6 carreaux en céramique de Jean Lurçat fait à San Vicens, représentant un coq stylisé fait d'émaux polychromes dans des tons de rouge/orangé, bleus, jaune, brun et noir.
On peut l'utiliser comme panneau décoratif à accrocher, mais pourquoi pas en guise de panneau de table basse, l'artiste en a fait réaliser de nombreuses.
Décor emblématique de l'artiste, en effet le coq revient très souvent dans ses créations que ce soit sur ses céramiques, tableaux ou tapisseries.
Je ne présente plus Jean Lurçat, peintre, cartonnier, designer et céramiste français, classé parmis les surréalistes.
Artiste peintre français, Jean Lurçat est connu dans le monde entier pour ses créations flamboyantes et monumentales. Son oeuvre la plus célèbre, Le Chant du monde (1957), s’inspire de la tapisserie L’Apocalypse tissée au XVe siècle. Avant de se pencher sur ses premiers canevas, l’artiste vosgien étudie la peinture. Influencé par Matisse, Cézanne, ou encore Renoir, il devient en 1914 apprenti auprès du peintre fresquiste Jean-Paul Lafitte. Il s’essaie alors à la lithographie et, dès 1920, expose deux tapisseries au Salon des Indépendants à Paris.
Jean Lurçat voit alors sa popularité monter en flèche : il crée les décors et les costumes de plusieurs spectacles, comme ‘Celui qui reçoit des gifles’ (1921) de la compagnie Pitoëff ou ‘Jardin public’ (1933) de George Balanchine, et expose ses oeuvres à travers l’Europe. En 1928, il embarque pour les Etats-Unis et participe cinq ans plus tard à l’exposition new-yorkaise ‘Sélections’ en compagnie de Matisse, Picasso et Braque. En France, plus de vingt établissements portent le nom de cet artiste qui a redonné ses lettres de noblesse à la tapisserie, mais aussi à la céramique grâce aux manufactures de San Vicens et Haviland à Limoges dans les années 1950/1970.