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Théophile Alexandre STEINLEN (1859-1923) "Chats" crayon sur papier signé du cachet d'atelier
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Description de l’antiquite :

"Théophile Alexandre STEINLEN (1859-1923) "Chats" crayon sur papier signé du cachet d'atelier"
Théophile Alexandre STEINLEN (1859-1923) "Chats" crayon sur papier signé du cachet d'atelier
Théophile Alexandre Steinlen, né à Lausanne le 20 novembre 1859 et mort à Paris (18e arrondissement) le 13 décembre 19231, est un artiste anarchiste2,3, peintre, graveur, illustrateur, affichiste et sculpteur suisse, naturalisé français en 1901.
Biographie
Jeunesse
Théophile Alexandre Steinlen est le fils de Samuel Steinlen, un employé des Postes de Lausanne, lui-même fils de Christian Gottlieb (Théophile) Steinlen (1779-1847), peintre et dessinateur. Originaire d'Allemagne, la famille Steinlen avait été admise à la bourgeoisie de Vevey en 1832. Théophile Alexandre Steinlen étudie la théologie à l'Université de Lausanne pendant deux ans, puis, en 1879, se tourne vers l'art, suivant une formation au dessin d'ornement industriel à Mulhouse, chez Schoenhaupt, avant de s'installer à Paris avec sa femme Émilie en 1881.
Un artiste montmartrois
Logeant depuis 1883 sur la butte Montmartre, Steinlen fait rapidement connaissance avec les personnalités artistiques qui y gravitent. Il entre en relation avec Adolphe Willette, et Antonio de La Gandara avec lesquels il fréquente à partir de 1884 le Chat noir, le cabaret tenu par Rodolphe Salis, devenant notamment l'ami d'Henri de Toulouse-Lautrec. Il y connaît naturellement Aristide Bruant. Il fréquente également le café-restaurant Au Tambourin au 62, boulevard de Clichy4.
Il expose initialement au Salon des indépendants, en 1893, puis, régulièrement, au Salon des humoristes.
Adversaire de l’injustice, compatissant envers les déshérités, qui alors ne manquaient pas à Montmartre, il dépeint des scènes de la rue, des usines, de la mine, mettant en scène les malheureux de toute espèce, mendiants, ouvriers dans la misère, gamins dépenaillés et prostituées. Ces personnages semblent plus souvent écrasés par leur triste condition que révoltés. Il considère l'espace public comme un lieu de conflits sociaux et est le premier à lui insuffler un esprit cinématographique, comme dans le populaire théâtre d'ombres du Chat noir, où les ombres illustrent la surveillance et le maintien de l'ordre public5. Il est par ailleurs le spécialiste des chats, qu’il dessine sans se lasser, dans toute leur fantaisie, joueurs, endormis ou en colère. Il dessine aussi des nus féminins.

Affiche de la Tournée du Chat noir (1896), New Brunswick (New Jersey), Zimmerli Art Museum.
Steinlen pratique de préférence le dessin et le pastel pour dépeindre la vie quotidienne de la rue et ses petits métiers. Le réalisme de ses dessins a inspiré certaines œuvres de Jean Peské, ou les débuts de Pablo Picasso. Il développe également un œuvre gravé, reprenant les mêmes thèmes que ses dessins, ou en y mêlant la politique, comme dans les lithographies par lesquelles il illustre les malheurs de la Belgique et de la Serbie en 1914-1918. Mais ce sont surtout ses affiches qui, comme celle de la Tournée du Chat noir, sont à l’origine de sa popularité. Il pratique aussi la sculpture sur le thème des chats (Chat angora assis6). Il illustre également des ouvrages littéraires, comme la refonte en 1903 des Soliloques du Pauvre de Jehan Rictus, et collabore à divers journaux humoristiques tels que Gil Blas illustré, L'Assiette au Beurre (dès le no 1), Le Rire et Les Hommes d'aujourd'hui, puis Les Humoristes, qu’il fonde en 1911 avec Jean-Louis Forain et Charles Léandre.
Steinlen est inhumé au cimetière Saint-Vincent à Paris.
 
Prix: 600 €
Epoque: 19ème siècle
Style: Autre style
Etat: Etat d'usage

Matière: Papier
Largeur: 22,5
Hauteur: 14

Référence (ID): 1490153
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