Dans ses toiles, Julie Nangala représente « Pirlinyanu », le pays de son père dont elle est la dépositaire, proche de Mina Mina, une terre rocheuse et riche en sources d’eaux profondes. Par son travail sur le Rêve de l’eau, elle développe son propre langage pictural, en poursuivant les recherches menées par sa mère, Dorothy Napangardi, sur les contrastes de couleurs. Ses toiles sont minimalistes, innovantes et très souvent peintes à l’aide de seulement deux ou trois couleurs (principalement blanc noir et rouge) qui rappelle les traces blanches laissées sur le sol ocre par le sel et qui sont caractéristiques de ce territoire.
À PROPOS DE JULIE NANGALA ROBINSON
Julie Nangala Robertson, dit aussi Robinson, est née en 1973 à Yuendumu (Northern Territory, Australie). Elle est l’une des cinq filles de la grande artiste Dorothy Napangardi.
Julie Nangala Robertson a commencé à peindre à la fin des années quatre-vingt-dix aux côtés de sa mère. C’est pour cette raison qu’on peut admirer dans ces œuvres une technique très élaborée et aboutie transmise par sa mère. Forte de ses racines familiales et d’un talent artistique indéniable, elle est appelée dans futur proche à devenir une figure emblématique de l’art contemporain Aborigène. Son talent est reconnu internationalement et ses toiles sont présentes dans de nombreuses collections privées et publiques dont le musée des Confluences de Lyon en France.
Un certificat d'authenticité accompagne cette œuvre, délivré par Didier Zanette, collectionneur et marchand internationalement reconnu, spécialisé dans l'art océanien depuis les années 1990.
Numéro de référence : 15JR270
Ses œuvres sont présentes dans de prestigieuses collections :
Musée des Confluences, Lyon (France)
Dr Arthur Bridge Collection, Sydney (Australie)
Edith Cowan University Art Collection, Perth (Australie)
Flinders University Art Museum, Adelaïde (Australie)
Kluge-Ruhe Aboriginal Collection, University of Virginie, Charlottesville (États-Unis)