Une construction solide, de puissants et larges aplats de peinture appliquésau couteau par l’artiste, une économie de détails et un traitement épurédonnent à ce tableau une réelle force.
L’œuvre en excellent état est proposée dans un beau cadre moderne qui mesure72 cm par 87 cm, et 46 cm par 61 cm pour la toile seule.
Une œuvre puissante et efficace qui pourrait être l’illustration d’un romande Jean Giono.
Elle est signée en bas à gauche, titrée « Fin d’après-midi sur leMazet » et numérotée 04 4004 audos.
Très jeune, il fréquente l’École des Beaux Arts, et après une approche desgrands Maîtres de la Peinture Provençale, il expose à partir de 1958 ses premièrespeintures dans sa ville.
Entre 1960 et 1970, il va recevoirde nombreux Prix de la Peinture, qui vont couronner ses débuts de jeunepeintre, et durant cette période, des expositions de ses œuvres vont êtreorganisées dans de multiples galeries en France.
À partir de 1971,ce sont les États-Unis qui vont l’accueillir : Washington, New York, Atlanta, Philadelphie,Albuquerque…
En 1980 JeanClaude Quilici commence sa carrière au Japon : de Tokyo à Osaka en passant parKōbe, Shizuoka, Fukuoka, Nagano, Sapporo… toutesces villes lui organisent des expositions et lui réservent un accueilchaleureux.
Depuis 30 ans, ses œuvres lithographiques et ses peintures sont présentes enpermanence au Japon.
Jean Claude Quilici n’a pas pour autant négligé la France.
Son travail est exposé régulièrement dans les Galeries les plus importantes à Marseille, Toulon, Ajaccio, Lyon, Bordeaux,Clermont-Ferrand, Dijon, Nancy, Cannes, Saint-Tropez.
L’artiste poursuitparallèlement une carrière à l’étranger : États-Unis, Singapour, Hong Kong,Taïwan, Corée, etc.
Il futégalement invité à réaliser au cours de sa carrière des œuvres diverses tellesque des fresques monumentales pour l’université de Corte (Corse) de 40 mde long sur 4 m de haut et pour le Métro de la Ville de Marseille.
Unedécoration murale sur tôle émaillée d’une longueur de 130 m…
En 1997,l’artiste réalise les décors de l’opéra Mireillede Gounod pour une coproduction de l’Opéra de Marseille et de l’Opérade Bordeaux.