Maxime Maufra (1861-1918) Le train 1917, Bretagne. Ecole de Pont-Aven, Moret, Bréhat, Osterlind flag

Maxime Maufra (1861-1918) Le train 1917, Bretagne. Ecole de Pont-Aven, Moret, Bréhat, Osterlind
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Description de l’antiquite :

"Maxime Maufra (1861-1918) Le train 1917, Bretagne. Ecole de Pont-Aven, Moret, Bréhat, Osterlind"
Superbe aquarelle de Maxime Maufra représentant un paysage au train en 1917, signée et datée en bas à droite.
Format de l'aquarelle seule hors cadre 23x32cm et 48x54cm cadre compris.
Aquarelle en très bon état pour ses quelques 110 ans, papier très légèrement froissé à quelques endroits c'est tout. Livrée dans une baguette dorée moderne.
Oeuvre garantie authentique.

Il s'agit donc d'une magnifique et intéressante aquarelle et fusain de Maxime Maufra qui peint ici un sujet plutôt peu courant un train sur une voie de chemin de fer sur un viaduc en 1917, je pense en bretagne. Le choix du motif est donc rare, Maufra reproduit ici un train roulant sur un viaduc, comme à son habitude à l'aquarelle il trâce d'abord une esquisse au fusain qu'il anime ensuite grâce à de subtiles touches d'aquarelle dans des tons de verts, bleu intense, brun/violine.
Oeuvre puissante par l'un des meilleurs peintres français de la fin du 19ème et du début 20ème, fer de lance de l'école Bretonne dont l'école de Pont-Aven, il fréquentera aussi beaucoup l'île de Bréhat aux côtés de Allan Osterlind.

Maxime Maufra, né Maximilien Émile Louis Maufra le 17 mai 1861 à Nantes (Loire-Atlantique), et mort le 23 mai 1918 à Poncé-sur-le-Loir (Sarthe), est un peintre, graveur et lithographe français postimpressionniste.

C'est lors d'un séjour à Pont-Aven en 1890 qu'il rencontre Paul Gauguin et Paul Sérusier (1864-1927). Le travail de ces artistes a éclipsé l'influence qu'il avait subie de la part de peintres tels que Pissarro et Sisley. Il est alors fortement influencé par le synthétisme, style inventé par Émile Bernard (1868-1941) et développé par Gauguin, qui traduit les formes en aplats colorés disposés selon un motif décoratif.Il décide alors de se consacrer pleinement à la peinture et s'installe à Pont-Aven. Il fréquente, en 1891 et 1892, l'auberge de Marie Henry au Pouldu en compagnie de Charles Filiger. Il retrouve Gauguin quelques années plus tard à Paris en 1893. C’est l’occasion d’encouragements et de soutien réciproques entre ces deux artistes qui se respectent.Il témoigne néanmoins d'une pointe de scepticisme signalant son indépendance de caractère : « Je restais trois mois dans ce pays breton de Pont-Aven où je n’entendais parler que vert Véronèse pur, chrome, etc., théories de couleurs plus ou moins absurdes. Je préfère la coloration vive, mais on peut peindre avec du noir… Le tout est d’être peintre, et quoique ce mot déplaise à certains, il faut d’abord s’exprimer en cette langue. ». En 1892, Maufra fréquente avec son ami Émile Dezaunay, l'atelier d'Eugène Delâtre où ils réalisent leurs premières gravures, influencés par Paul Gauguin. Il est le premier à s'installer au Bateau-Lavoir à Montmartre en 1893, et son atelier est fréquenté par ses amis Dezaunay, Aristide Briand, ainsi que le poète Victor-Émile Michelet.

En 1892 il expose une monographie de son œuvre à la deuxième exposition des peintres impressionnistes et symbolistes au Le Barc de Boutteville (Paris), avec Louis Anquetin, Émile Bernard, Pierre Bonnard, Maurice Denis, Charles Filiger, Maximilien Luce, Henry Moret, Camille Pissarro, Paul-Élie Ranson, Paul Sérusier, Paul Signac, Henri de Toulouse-Lautrec durant l'été 1892.

Il expose ensuite à la galerie Durand-Ruel qui sera son marchand jusqu'à la mort de l'artiste, et organisera de nombreuses expositions de ses œuvres.

Au printemps 1894, ils se fréquentent à nouveau avec Gauguin en Bretagne au Pouldu, puis Maufra part à la découverte du Trégor finistérien. Il finit par approfondir sa propre voie en abordant les paysages avec une prédilection pour les marines de Bretagne. Il a également visité la région du Dauphiné et les environs du Havre.

Cette même année il expose au Salon de la Société nationale des beaux-arts et au Salon des indépendants et en 1895 il participe à l'Exposition des Bretons de Paris, puis à plusieurs expositions en 1896, 1897 et 1901.

Après un voyage en Écosse à l'été 1895, il épouse à Londres Céline Le Floc'h, dont il avait fait la connaissance à Pont-Aven.

Écrivant à un ami en 1897, il déclara : « Je cherche les grands horizons, les cieux !... Je voudrais que les paysages soient classiques, simples et immenses 

En 1903, il est cofondateur avec Frantz Jourdain du Salon d'automne au Petit Palais et il expose en 1904.

Il séjourne ensuite à Quiberon, à la pointe du Raz, dans la presqu'île de Crozon et en de nombreux autres lieux.

Il s'installe en 1903 dans une petite ferme à Kerhostin, dont il fait l'acquisition en 1910. Il va essayer sans succès de reconstituer un petit groupe en ces lieux. Seul Léon Duval-Gozlan (1853-1941), lassé de la vie parisienne, viendra le rejoindre.

Il est nommé Chevalier de la Légion d’Honneur en 1906[7] et nommé peintre de la Marine en 1916.

Militant régionaliste, Maxime Maufra est l'un des animateurs de la section « beaux-arts » de l’Union régionaliste bretonne.

Il meurt d'une crise cardiaque le 23 mai 1918 au Pont à Poncé, où il avait planté son chevalet.


Prix: 840 €
credit
Artiste: Maxime Maufra (1861-1918)
Epoque: 20ème siècle
Style: Art moderne
Etat: Bon état

Matière: Aquarelle
Longueur: 32
Hauteur: 24

Référence (ID): 1527023
Disponibilité: En stock
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