Antonio Uria Monzon (1929-1996), artiste espagnol exilé d’abord à Paris puis en alternance à Ciboure et à Agen (ville d’origine de son épouse) développa un univers très personnel, nourri d’influences remaniées et parfaitement assimilées telles Goya et Picasso.
Si un pan de son œuvre consistait à réaliser des portraits hyperréalistes, notamment d’enfants, toute une partie est consacrée à son autre passion: la tauromachie, principalement axée sur le mouvement magistralement rendu à l’aquarelle ou à l’huile.
Nous avons ici une autre facette de son œuvre, une espèce de surréalisme poétique qu’il développa en parallèle des années 60 à son décès.
Cette «Jeune fille au bouquet et à la colombe» et «L’offrande à l’aimée», techniques mixtes usant du crayon, de l’encre de chine et du pastel mesurent 35 X 27 cm environ et ont été montées dans de gros cadres modernes de style hollandais 53 X 45 cm sous des verres «musée» anti reflets.
Voir aussi notre «Erection des croix»
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