en placage de loupe et bois de violette orné
de poignées, pentures à décor de fleurs de lys
et écoinçons en bronze doré.
Une serrure à moraillon permet de débloquer
le dessus et d'abattre la façade permettant de
découvrir un intérieur en placage de palissandre,
deux petits tiroirs , une cache et leurs compartiments
secrets.
Un système à vis logé dans les panneaux latéraux
donne la possibilité de fixer le coffre sur une table.
Travail Parisien du XVIIème siècle