Il est donc élève de Kandinsky et de Joseph Albers.
La guerre le fait revenir à Paris.
Dès la libération, il espose dans les plus grandes galeries, et ce jusqu'à sa mort en 2001.
Ses abstractions sont recherchées par son travail sur le vide et le déséquilibre que cela induit dans la constructiion du tableau.
Cette belle encre est une de ses plus réussies.