Elle a gardé de son maître un dessin rond et vigoureux et une palette expressive.
Ayant perdu son fonds d'atelier et son matériel en 62 au retour d'Algérie, par le truchement de la facétie des dockers marseillais ayant fait prendre l'eau à ses oeuvres, elle continuera néanmoins à peindre et sera conférencière au musée du Louvre.
Originale et puissante oeuvre décorative, circa 1965 (en fonction de l'adresse au verso), tableau de salon, non signé curieusement.