Elle représente les lavandières bretonnes lavant leur linge à la rivière.
L'oeuvre est dans son jus et un nettoyage peut-être envisagé, je peux le prendre en charge.
Elle est signée en bas à droite, mesure 78 cm par 93 cm cadre compris, et 50 cm par 67 sans le cadre qui a quelques légers accidents, de types sauts ou éclats de dorure, mais rien d'important, les photos parlent d'elles même.
Théophile Deyrolle étudie l'architecture puis entre à l'École des beaux-arts de Paris dans les ateliers d'Alexandre Cabanel et de William Bouguereau. C'est là qu'il fera la connaissance d'Alfred Guillou, peintre originaire de Concarneau où les deux hommes se rendront en 1871.
Il voyage dans les Lazes et en Arménie durant les années 1860, et en rapporte une documentation dessinée qu'il publie dans la revue Le Tour du Monde - Nouveau Journal Des Voyages en 1869.
Théophile Deyrolle est devenu breton et concarnois d'adoption, en épousant Suzanne Guillou, la sœur de son ami Alfred Guillou3. Avec son ami et beau-frère Alfred Guillou, il est considéré comme le fondateur de l'École de Concarneau4.
Installé à Concarneau, il travaille pour la faïencerie HB de Quimper à la décoration de plats, d'assiettes, de vases aux motifs japonisants. Puis attiré par la vie du port et les métiers de la mer, il devient mareyeur. Ses sujets picturaux favoris tournent autour de la vie portuaire. Il réalise des panneaux décoratifs pour divers hôtels de la région, des portraits, de nombreux paysages et, en 1909, une série de scènes pastorales.
Oeuvres dans les collections publiques: