Entré à 19 ans dans les ordres, Henri-Joseph du Laurens, à qui est attribué ce texte, réussit à se faire détester des chanoines autant que des jésuites. Il quitta donc la vie monastique et publia un texte contre les jésuites, intitulé Jésuitiques puis Le Balai (1761), L'Arétin (1763), Imirce (1765), Le Compère Mathieu, ou Les Bigarrures de l'Esprit humain (1766) et La Chandelle d'Arras (1765). Dénoncé comme auteur licencieux à Mayence, il termina sa vie entre prison et couvent surveillé, et mourut en 1793. Bon état.