Le début de ce siècle est représentatif pour l’usage de la miniature sur ivoire. Alors que la technique sur émail se raréfie, les peintres favorisaient peu à peu ce nouveau support pour notamment la facilité d’usage de la gouache.
La couleur naturelle de ce matériau s’assimile aisément à la teinte de la chair du visage blanchâtre de cette femme dans les atours de son époque.