Albert Robida Encre Aquarelle La plage à peintres flag


Description de l’antiquite :

"Albert Robida Encre Aquarelle La plage à peintres"
Aquarelle et encre, œuvre originale signée Albert Robida en bas à gauche, titrée et légendée au crayon par l'artiste «La plage à peintres» «Tu sais, il y a encore de nouveaux arrivés à l'hôtel! Il commence à y avoir trop de monde ici, l'année prochaine j'apporterai des punaises!».
Au dos, une étiquette et un cachet nous indiquent que cette œuvre provenant de la collection de Mr Wellingham, 25 rue de la Paix, avait été présentée au Salon des Artistes Humoristes se tenant au Palais de Glace Champs Elysées Paris.
Sous passe-partout, sous verre, dans un cadre baguettes en bois doré.
Dimensions à vue de l'aquarelle 26,5x16,5 cm
Dimensions totales, avec cadre, 41x32,5 cm

Albert Robida, né le 14 mai 1848 à Compiègne et mort le 11 octobre 1926 à Neuilly-sur-Seine, est un illustrateur, caricaturiste, graveur, journaliste et romancier français.
Son fils est l'architecte Camille Robida (1880-1938).
Fils d'un menuisier, Albert Robida étudie pour devenir notaire, mais dans l'ennui de telles études, il s'adonne à la caricature. En 1866, il dessine au Journal amusant puis dans diverses revues. En 1879, il imagine un personnage élevé par des singes, Saturnin Farandoul.
En 1880, avec l'éditeur George Decaux, il fonde sa propre revue, La Caricature, qu'il dirige pendant douze ans et dans laquelle Caran d'Ache, Louis Morin, Ferdinand Bac, Job, Maurice Radiguet font leurs débuts.
Il illustre des guides touristiques, des ouvrages de vulgarisation historique, des classiques littéraires : Villon, Rabelais, Cervantès, Swift, Shakespeare, Les Cent Contes drolatiques d'Honoré de Balzac, les Mille et une nuits. Il œuvre aussi dans un registre plus léger avec une histoire des maisons closes.
En 1885, il participe à la première Exposition internationale de blanc et noir et y obtient une médaille de bronze.
Entre 1891 et 1905, il fournit une soixantaine de planches à la revue La Nature de Gaston Tissandier.
Pour l'Exposition universelle de 1900, en aval du pont de l'Alma, il conçoit une reconstitution d'un quartier du « Vieux Paris ».
Sa renommée s'éclipse quelque temps après la Première Guerre mondiale.
Albert Robida a été redécouvert grâce à sa trilogie d'anticipation :
Le Vingtième Siècle, 1883 ;
La Guerre au vingtième siècle, 1887 ;
Le Vingtième Siècle. La vie électrique, 1891-1892.
Il imagine ainsi dans La vie électrique le téléphonoscope, un écran plat mural qui diffuse les dernières informations à toute heure du jour et de la nuit, les dernières pièces de théâtre, des cours et des téléconférences. Les aéronefs sont également bien implantés comme moyen de transport individuel et il y mentionne même un « train-tube électro-pneumatique » qui rappelle l'hyperloop d'Elon Musk. Le récit se déroule en 1953.
Outre ses qualités de visionnaire, son œuvre L'Horloge des siècles (1902), avec les changements de paradigmes qu'elle présente, annonçait déjà, selon certains de ses critiques, le Philip Kindred Dick du roman À rebrousse-temps.
Albert Robida est inhumé au cimetière de Croissy-sur-Seine, dans le tombeau familial dessiné par l'un de ses fils, l'architecte Camille Robida.
Prix: 800 €
Artiste: Albert Robida (1848-1926)
Epoque: 20ème siècle
Style: Autre style
Etat: Très bon état

Matière: Papier
Largeur: 32,5 cm (avec cadre)
Hauteur: 41 cm (avec cadre)

Référence (ID): 871695
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Antiquaire Généraliste, Objets D'art
Albert Robida Encre Aquarelle La plage à peintres
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