Dugourc est le fils d’un officier de la Maison du duc d’Orléans. Il est élève au Collège de Juilly, et élève de l’abbé Barthélemy. En 1764, il accompagne à Rome le comte de Cany, nommé ambassadeur extraordinaire, et apprend à dessiner d’après l’antique. De retour en France, il devient dessinateur à Valenciennes pour Gribeauval, le […]
Jean Charles Delafosse: ornemaniste du style Louis XVI
Jean-Charles Delafosse ; 1734-1791. Architecte, ornemaniste, peintre français fut avant tout un architecte qui sut déployer toute son originalité dans l’ornement, il est connu pour ses recueils de modèles d’architecture. Important théoricien du style Louis XVI « carré » et des débuts du néo-classicisme. Son influence est sensible dans le décor de maisons parisiennes dans les années 1760-1780. Il a contribué […]
Le salon chinois du château de Haroué
Le Château de Haroué est l’œuvre de l’architecte Germain Boffrand (1667-1754) pour le prince Marc de Beauvau-Craon, ami d’enfance du duc Léopold (1690-1729). Marc était également vice-roi de Toscane, prince du Saint-Empire, Grand d’Espagne et reconnu cousin du roi par Louis XV. En 1704, il se maria avec Anne-Marguerite de Ligniville, descendante d’une ancienne famille […]
Les chinoiseries: décors de fantaisie
Née du goût ancestral de l’Occident pour les Arts Orientaux, les « Chinoiseries » en sont une inspiration fantaisiste extraordinairement féconde, confondant et mêlant toutes sortes de motifs ornementaux exotiques. A travers tous les grands styles européens, des soieries aux mobiliers, jusque dans tous les domaines des arts décoratifs, et même de l’architecture, les chinoiserie doivent leur […]
L’ornemaniste jean baptiste pillement
Jean-Baptiste Pillement dessine dès 1743 des arabesques et des chinoiseries. On retrouve dans ses dessins un mélange harmonieux d’oiseaux fantastiques avec de la flore et de la faune, des personnages exotiques ou encore des chinoiseries tels que les pagodes, les cascades, les dragons..
La chine des ornemanistes
Cantonnée aux arts décoratifs, aux pièces intimes et aux pavillons ornementaux, la chinoiserie ne fut pas entravée par les règles de la convenance. Elle put rester le lieu du plaisir et du rêve. La Chinoiserie fut L’un des éléments Les plus originaux de l’ornement Rococo .